Comme un ventre de femme généreux, la forêt nous offre ses fruits abondants depuis des millénaires. Si, à une époque, la survie de l’homme en dépendait, aujourd’hui, elle est maintenant surexploitée pour combler ses besoins grandissants et insatiables.
Les peuples autochtones attribuent des valeurs spirituelles à la forêt et reconnaissent l’arbre comme un être vivant, hôte d’un esprit bienveillant.
Serait-ce utopique de penser que les générations à venir puisse profiter d’une forêt ancestrale avec ses arbres majestueux et ses sous-bois accueillants?
Je me permets d’y rêver, en proposant une œuvre qui invite au recueillement et à la gratitude.